Nos dirigeants politiques nous surtaxent, nous pressurent, et veulent encore nous faire travailler plus longtemps #suppression2joursfériés.
Pourquoi ?
Pour acheter des armes aux États-Unis.
Des armes que nous payons plus cher que tout le monde, avec une sur-facturation officielle de 10 %, annoncée sans gêne par leur Secrétaire au Trésor, sourire en coin, à la télévision.
Et à quoi servent ces armes américaines qu’on achète plus cher que tout le monde ? À être données aux Ukrainiens, pour « tenir » un peu plus longtemps face à la Russie. Pas pour gagner, non : pour perdre moins vite. Voilà la logique.
Tu m’étonnes, dans ces conditions, que les Américains n’aient aucun intérêt à ce que la guerre se termine rapidement : tant que ça dure, ils encaissent.
Pendant ce temps, Bruno Le Maire nous jurait que l’économie russe allait « s’effondrer », qu’elle serait mise à genoux. On voit le résultat : c’est l’Europe qui plie, qui paie, qui s’endette, qui renonce à ses services publics, qui détruit ses protections sociales.
Et comme si ça ne suffisait pas, nos entreprises stratégiques, comme Alstom, sont livrées à des intérêts étrangers. On laisse filer nos fleurons de l’énergie, du transport, des télécoms, de l’aéronautique, pendant que d’autres engrangent les bénéfices…
Et derrière, on se prend encore 15 % de taxes sur nos exportations.
Les Américains imposent leurs règles, les Chinois achètent nos terres et nos ports, et d’autres puissances, comme les Rifains, avancent leurs pions pour s’emparer de nos marchés.
Bref.